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LA MORT D'UN FRANC MAÇON: L'EGLISE CATHOLIQUE REFUSE LA CELEBRATION
Mr CLOMEGAH IGNACE, qui était connu pour son affiliation au service maçonnique, ne sera pas enterré selon le rite catholique. Bien que la famille du défunt ait exprimé son souhait que les prêtres catholiques bénissent le défunt, l'Église du Christ a refusé de célébrer la messe en raison du choix de vie de Mr CLOMEGAH IGNACE. Ce dernier avait manifesté une préférence pour les biens.
LES FUNERAILS MAÇONNIQUE
Les francs-maçons ne pratiquent pas de rituels funéraires standardisés, car cela varie selon les traditions et les pratiques de chaque loge maçonnique. Cependant, il y a souvent des éléments communs dans les funérailles maçonniques.
Lorsqu'un franc-maçon décède, sa loge maçonnique est informée et peut organiser une cérémonie en son honneur. Cette cérémonie peut avoir lieu dans un temple maçonnique ou dans un autre lieu approprié. Les francs-maçons portent souvent des tenues spéciales pour les funérailles, telles que des costumes noirs ou des tabliers de deuil.
Les funérailles maçonniques peuvent inclure des éléments symboliques, tels que la lecture d'extraits de la Bible, l'allumage de bougies, la présentation de la bannière de la loge et l'exposition des outils maçonniques. Les francs-maçons peuvent également réciter des prières ou des poèmes.
La cérémonie funéraire maçonnique est souvent suivie d'une procession pour accompagner le cercueil jusqu'au lieu de sépulture. Les francs-maçons peuvent former une garde d'honneur autour du cercueil et effectuer des saluts traditionnels.
En fin de compte, les funérailles maçonniques sont un hommage à la vie et aux réalisations du défunt et sont conçues pour refléter les valeurs maçonniques d'honneur, de fraternité
TOGO: l'augmentation du SMIG peut être considérée comme un élément du progrès social?
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PROGRES SOCIAL: C'est le titre de l'article publié sur le site du gouvernement Togolais. Dans ce t'article, le ministre GILBERT BAWARA souligne que la revalorisation du smig s'inscrit dans le progrès social.
Dans le cas du Togo TOGO: l'augmentation du SMIG peut être considérée comme un élément du progrès social?
L'augmentation du salaire minimum (SMIG) dans un État peut être considérée comme un indicateur potentiel de progrès social dans la mesure où cela peut contribuer à réduire la pauvreté et à améliorer le niveau de vie des travailleurs les plus précaires. Cependant, le progrès social ne se limite pas seulement à l'augmentation des salaires, mais doit également prendre en compte d'autres facteurs tels que l'accès à l'éducation, aux soins de santé, à l'emploi, à la sécurité, aux droits de l'homme, à la justice sociale, etc.
L'augmentation du SMIG peut également avoir des effets économiques, tels que la stimulation de la demande intérieure, la réduction des inégalités, l'augmentation de la productivité et la diminution de la pression sur les finances publiques grâce à la réduction des dépenses sociales.
Cependant, il est important de noter que l'impact de l'augmentation du SMIG sur le progrès social dépend également de la manière dont cette mesure est mise en œuvre et de son interaction avec d'autres politiques sociales et économiques. Par exemple, si l'augmentation du SMIG est accompagnée d'une hausse des prix, cela peut réduire son impact sur le niveau de vie des travailleurs.
En somme, l'augmentation du SMIG peut être considérée comme un élément du progrès social, mais cela ne suffit pas à déterminer si un pays progresse sur le plan social. Le cas du Togo aujourd'hui en est la preuve
